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Hô Chi Minh Ville, 2017, 39’, vidéo
DNSEP/master Illustration, 2017

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Anh Thu, une jeune artiste vietnamienne, se prépare pour un rendez-vous amoureux arrangé par son amie Dung. Cependant, sa casserole prend feu et, de là, rien ne se passe comme prévu. Elle cherche son chemin entre une réalité qui lui échappe parfois et un monde intérieur riche mais inquiétant. “La Morsure de l’œil” est un moyen-métrage de fiction tourné à Hô Chi Minh Ville au Vietnam, entre avril et mai 2016. De l’écriture à la post-production, en passant par le tournage, chaque aspect du film a été réalisé à deux. Écrite avant le départ, l’histoire s’est imprégnée de nos rencontres, et le tournage parfois chaotique et les innombrables accidents ont aussi laissé leur marque dans le film final.

2018, 40’, vidéo et animation
DNSEP/master Art, groupe Hors-Format, 2016

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Bon comment adapter Chrétien de Troyes en film ?
Alors je voudrais qu’il y ait de l’animation et des comédiens en chair et en os aussi, de la musique et qu’on entende bien le texte. Par contre j’ai pas un budget énorme et puis je ne sais pas faire de cheval… et puis j’ai pas beaucoup de potes comédiens… Ah! il faut que j’apprenne à faire de la 3D aussi… mais mon ordi n’est pas génialo… Bon du coup je n’aurai pas fini à temps.
Mais bon, fini/pas fini…

Pérou, 2018, 17’, vidéo SD et 16mm
DNSEP Art, groupe Farmteam & Storytellers, 2018

Contacter Charlotte Cherici par mail: charlotte.cherici@hotmail.fr

Printemps 2017. Je suis traductrice pour des voyageurs dans des centres de soin dits “néochamaniques”. Mes clients viennent des États-Unis, d’Europe, d’Australie, parfois du Maghreb ou d’Asie. Ils sont ici pour consulter une plante maîtresse en compagnie des curanderos – guérisseurs amazoniens. Une nuit sur deux, accroupie dans le noir entre eux, je m’efforce de traduire les conseils, les craintes et les désirs des uns et des autres. Ce film est né à proximité de ces interactions singulières, au cœur de pratiques rituelles destinées à réparer des désordres (c’est-à-dire je crois, à réparer des relations – aux autres, aux mondes, à soi) et dont résultent des réappropriations mutuelles improbables.

France, 2017, 1’‘05’26 , vidéo
DNSEP/master Art, groupe Le Plateau, 2017

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Créateur d’images, Guillaume Cochet produit des œuvres qui s’étendent de la bande dessinée, à la peinture, avec une passion non dissimulée pour le cinéma, en passant par la vidéo, l’affiche, les tirages de tarots et la scénographie de concerts.
Modelé au gré des apparitions et des disparitions, « La Grande Boucle » nous montre le cheminement d’un obsessionnel à travers différents récits. Le film retranscrit une année de tournage autour de la France constitué de portraits, de lieux et d’enquêtes artistiques.

2018-2019, 16’, vidéo
DNSEP/Master Art, groupe Le Plateau, 2019

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Après une rencontre avec un crocodile albinos et une mystérieuse créature en tenue de motocross, trois étudiants en parapsychologie font face à d’étranges phénomènes : un masque retrouvé dans la neige ressuscite une ex-petite amie, un zombie subissant des expérimentations chante une chanson de Depeche Mode, des fioles de plasmas trouvées dans des dépouilles de dinosaures ou encore un jeune-homme entretenant une connexion spirituelle avec des animaux empaillés.

Hail Tetrapoda est un projet amorcé en 2018 et toujours en cours de réalisation. C’est une fiction qui se développe à travers différents médiums (vidéos, sculptures, installations…), et dont la narration est connectée à des accessoires qui infléchissent l’écriture spéculative du récit.
Par sa pluridisciplinarité et son mode d’écriture non-linéaire, Hail Tetrapoda se construit et se déplie dans différentes temporalités et réalités, certaines parties de l’histoire demeurant absentes : ainsi, c’est au spectateur que revient d’élaborer les connections entre les différents éléments présentés.

France, 2018, 11’, animation
DNSEP Art, groupe Farmteam & Storytellers, 2018

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Mon travail se nourrit des scènes simples de la vie, de la ville et de ses acteurs. Je raconte des anecdotes du quotidien, qui, par leur caractère universel parlent à tous. Je joue sur cette frontière avec la réalité, où un détail à priori banal sort soudain de l’ordinaire pour raconter autre chose. C’est dans ce décalage que s’inscrit ce film conçut comme un coucou suisse. Mécaniquement, Les portes des chalets s’ouvrent, les habitants sortent, les oiseaux chantent, les saisons passent dans ce village en apparence idyllique.

France, 2018, 11’45, vidéo
DNSEP Art, groupe No Name, 2018

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Si la terre était soudainement éclairée par un autre astre, qu’est-ce que ce nouveau scintillement modifierait dans nos modes d’organisation, de pensée ? Est-ce que, sous un nouveau jour, nous pourrions recommencer ? « The Sun to Come » pose ces questions en suivant la vie d’un couple américain retranché dans une oasis qui ne semble appartenir à aucun monde. Au sein d’un paysage luxuriant et silencieux à l’écart du monde moderne, une maison semble encore abriter les utopies des communautés hippies des années 60.

France, 2017, 10’30, vidéo
DNSEP Art, groupe Farmteam & Storytellers, 2017

Contacter Sidonie Osborne-Staples par mail: khaosclub.lab@gmail.com

Voici les faits : une intrusion, un vol, un meurtre. Une femme, un homme, un lapin. Un jardin magique, une quête d’abondance, une poursuite dans le noir. Ce soir, l’homme est naïf, curieux, doté d’un désir ardent de billes. La femme, étrangement enceinte, se défoule le soir et veille à ce que la quiétude de son jardin soit maintenue. Le lapin, muni d’un pouvoir de prémonition, est un excellent dénicheur de billes.

L’artiste enquête à travers ses œuvres sur la multiplication du point de vue narratif et sa spatialisation. Elle expérimente la mise en récit de la peur, des innombrables mécanismes audio-visuels et théâtraux qui lui permettent d’exister, qui nous permettent de la subir ou de s’en délecter.

Pérou-France, 2017, 15’30, vidéo
DNSEP Art, groupe Hors-Format, 2017

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Un essai sur les représentations télévisées des femmes et de l’amour, sur les corps observés et sur ceux qui les observent. L’artiste se met en scène plusieurs fois pour interviewer un psychiatre, spécialiste de l’amour de la télévision péruvienne. Le son du Reggaeton accompagne une prière, comme dans un vidéoclip qui ne se finit jamais.

France, 2019, 18’30, vidéo – animation 3D
DNSEP Art, groupe No Name, 2019

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« Un jour, les promoteurs immobiliers sont venus avec leurs machines. Depuis ils construisent sans interruption. Dehors se dressent de grandes tours grises. Ils sont rentrés chez moi pour m’interroger.
Je dois à tout prix protéger ce qui se trouve derrière ces murs. »